dimanche 27 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 6


Ce texte a été modifié après plus d'une dizaine de jours de publication sur le blog. Il fait partie du troisième chapitre du roman "Un dernier Vol" qui sera proposé à différentes maisons d'édition dès qu'il sera terminé. Il ne sera malheureusement plus disponible au public d'ici là. Pour retrouver toute l'actualité de ce récit, je vous propose de cliquer sur l'onglet correspondant
Et si vous avez des questions sur mes textes ou moi-même, rendez-vous sur l'onglet "intéressés par mes écrits ? ". 

mercredi 23 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 5



Ce texte a été modifié après plus d'une dizaine de jours de publication sur le blog. Il fait partie du troisième chapitre du roman "Un dernier Vol" qui sera proposé à différentes maisons d'édition dès qu'il sera terminé. Il ne sera malheureusement plus disponible au public d'ici là. Pour retrouver toute l'actualité de ce récit, je vous propose de cliquer sur l'onglet correspondant
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lundi 21 janvier 2013

Analyse Tactique: Le Gouffre de Helm

Quelques uns d'entre vous le savent, je suis un passionné de ce que nous appellerons "La chose militaire"... Mais ce n'est pas le but de ce blog. Pourtant, entre deux textes, voici un petit tour dans mon monde, entre affrontement célèbre, fantasy et analyse tactique d'une bataille que pour le coup, tout le monde connait. 

Comme chacun le sait, la bataille du Gouffre de Helm (Le Seigneur des Anneaux, les Deux Tours) s’est soldée par une défaite des forces de l’Isengard sur une coalition Humain-Elfes menée par les troupes du Rohan. Notre analyse portera aujourd’hui sur cette bataille, sa réalité mais aussi et surtout la catastrophique tactique des Uruk’hai qui avaient, nous le prouverons, toutes les cartes en main.

1/ La stratégie de l’Isengard

La stratégie employée par l’armée de l’Isengard est assez novatrice pour son temps lorsqu’elle est décrite par Tolkien. Elle sera plus tard employée au Vietnam par l’armée américaine, par exemple. Elle vise à assurer la maitrise du terrain et des populations adverses par un mouvement en deux temps. Dans le premier, des forces insurgées issues de minorités vont saper l’autorité politique du pouvoir en place, tout en mettant en action une répression locale importante. Elle génère des mouvements de réfugiés, désorganise le pouvoir et en limite son action. Le second temps, qui reste le plus long moment adapté dans le long-métrage, réside dans l’envoi d’une armée puissante, qui n’a plus qu’à cueillir le fruit des actions précédentes, en provoquant puis gagnant une unique et décisive bataille. C’est sur cette dernière que nous allons revenir.

2/ La bataille du Gouffre de Helm, une nécessité ?

Lorsqu’on regarde le rapport des forces, qui en englobant les renforts des régiments de cavalerie du Rohan n’est pas en la défaveur de ces derniers, on peut se demander quelle était la légitimité à aller s’enfermer au Gouffre de Helm. Le livre comme le film apportent des éléments : il s’agit d’une retraite traditionnelle, un symbole de victoire pour le peuple, mais également un lieu pour lequel le nombre d’assaillants perd en influence (nous verrons plus loin que ce n’est pas tout à fait vrai). Toutefois, il eut été utile de considérer les forces adverses avant de prendre ce choix : l’armée de l’Isengard est (si ce n’est quelques éléments montés sur les Ouargs) essentiellement basée sur l’infanterie. Et une force de cavalerie, même plus faible en nombre, aurait pu faire plier une telle armée… Non seulement en l’attaquant de façon répétée et rapide, mais également en gagnant un temps précieux pour regrouper ses propres forces disséminées dans le pays. Leur choix se fixe sur une forteresse mangée par les années et les conflits précédents, aux défauts architecturaux que nous allons énumérer, et surtout sans échappatoire.

3/ Forces en présence

- Forces du Rohan : On va compter environ 300 soldats de métier dans les forces qui défendent le Gouffre, soit trois bataillons, auxquels on va ajouter deux bataillons de réservistes qui ne tiendront pas lourd dans la bataille : mal équipés, trop vieux, trop jeunes, c’est du rajout très artificiel. On pourrait aussi compter un ou deux bataillons pour la population dans les grottes, mais elle n’intervient pas. Egalement, on va compter 4 à 5 régiments de cavalerie (5000) en renforts, mais qui n’arriveront pas avant l’aube.
- Forces elfes : Estimons à environ 500 (et encore je suis sympa) soit un demi régiment d’infanterie, que l’on peut diviser de la manière suivante : 2 bataillons d’archers, 3 de fantassins à pied.
- Forces de l’Isengard : Une brigade d’infanterie complète, bien équipée (mais très mal commandée) et un bataillon monté sur les Ouargs. Soit au moins 10000 guerriers.

4/ La bataille du Gouffre de Helm

Première erreur orque : l’équipement.
La bataille à proprement parler démarre plusieurs heures après la tombée du jour. Dans une démonstration de force totalement inutile, l’armée de l’Isengard se présente à portée de tir des forces de la coalition. On peut remarquer à cette occasion sur dans le long-métrage, une partie significative des assaillants est armée de longs pics. La pertinence de cet armement à la fois long, encombrant et peu maniable, n’est justifiée à aucun moment de la bataille. A l’inverse, un combo bouclier-épée courte aurait bénéficié d’un gain très appréciable dans les combats au corps à corps sur la muraille.
Par contre, on peut à l’inverse louer les capacités des troupes du génie des Orques. Pontonniers, artificiers, sapeurs, tout l’éventail des capacités sera utilisé. Mais dans le mauvais ordre, nous le verrons plus loin.

Seconde erreur orque : l’attaque sur tous les fronts
La bataille démarre sur un chaos total dans les forces assaillantes. En effet, on voit successivement des salves d’archers, des montées d’échelles, des tentatives sur la porte de la citadelle (offrant, certes, un accès restreint). L’assaut en lui-même est brouillon, dans le sens ou des pertes importantes vont être concédées uniquement parce qu’il s’agit d’une diversion. Eh oui ! Tous ces morts (et jusque-là, on peut estimer qu’elle dépassent un bon dixième de la brigade engagée, sans compter les moyens matériels qui ont été mis en œuvre), tandis que l’atout majeur n’est pas encore dévoilé : les explosifs ne seront déployés qu’après un temps qui a du paraître une éternité aux forces d’assaut sous le feu précis des elfes.

Troisième et terrible erreur orque : L’explosion du rempart
Présentée dans le livre comme dans le film comme l’évènement majeur qui fera tourner la bataille en faveur des armées de l’Isengard, c’est en fait un exemple parfait de la fausse bonne idée. Certes la brèche va permettre de rentrer dans le gouffre et d’en annihiler les troupes elfes ainsi qu’une bonne partie des défenseurs humains. Cela dit l’intérêt tactique de cette manœuvre est… nul. Puisque l’accès aux grottes est conditionné par la citadelle, accessible de derrière les remparts par un chemin tortueux, bien défendu et une porte très peu large : un casse-tête pour tout assaillant. Pour comprendre, il faut revenir plus tôt dans le récit. On nous promet que « le seul défaut du gouffre de Helm réside dans un boyau, inconnu de tous mais point faible de la muraille ». Dans un sens c’est vrai, rien ne sert d’avoir une dizaine de mètres d’épaisseur de mur si c’est pour pouvoir passer par un tunnel juste en dessous. Mais il faut voir le Gouffre dans sa globalité : prendre le mur n’apporte rien dans cette bataille ! C’est la citadelle qui compte comme objectif principal, et de supprimer la menace des remparts en second. Il aurait été beaucoup plus intelligent de taper sur l’endroit le plus vulnérable avec une arme aussi sensationnelle.

Quatrième erreur orque : l’avancée en tortue
Clairement, le mouvement n’a pas été bien répété à l’entrainement : Lors de leur montée vers la porte de la citadelle (tardive, très tardive) les troupes de l’Isengard forment une tortue… Mais oublient de protéger leurs flancs ! Heureusement, c’est là que l’attaque frontale contre la muraille prend un tout petit peu de valeur : les archers elfes sont suffisamment débordés pour ne pas infliger des pertes massives.

Cinquième erreur orque : les échelles de la citadelle
Oui c’est vrai, pourquoi passer par la porte lorsqu’on peut escalader 80m de corde sous une pluie de flèches ? Cette attaque, bien que destabilisante sur les défenseurs et leur moral déjà vacillant, va se solder par plusieurs échecs facilement prévisibles, dus à la difficulté de tenir sur des échelles aussi massives, mal construites et mal arrimées (et aussi un peu à l’action des réservistes sur le dessus). Pourquoi ne pas en effet, avoir gardé ces troupes précieuses pour protéger les flancs, ou pour former des unités de réserves ? Puisqu’ils savent faire la tortue, ils avaient juste à patienter le temps que la porte tombe…

Sixième erreur orque : Combattre sur un terrain défavorable
Le temps que la porte, gravement endommagée soit réparée à coups de madriers (?!), les orques se laissent déborder par deux uniques guerriers sur cette avancée de pierre de cinq à six mètres de large. C’est bel et bien une erreur des orques de n’avoir pas été assez organisés : une poussée d’une vingtaine de soldats bouclier en avant aurait bloqué les défenseurs contre la porte, position pour laquelle leur combat n’aurait pas duré.

Septième erreur orque : ne pas s’approprier la citadelle
Là on passe de l’improbable à l’incompréhensible. Les Uruk’Hai ont pris la muraille, ainsi que la citadelle. Ils disposent encore de troupes nombreuses (mettons, au pire 5 régiments soit la moitié de leurs forces originelles), à pied et équipés en majorité de piques et d’épées. Arrive le « tournant de la bataille » c’est-à-dire à l’aube. Le roi et les quelques défenseurs restants font une sortie, une dernière charge. Cela implique trois choses :

- 1 : Les orques ont gagné ! Ils ont accès à leur objectif, c’est-à-dire les cavernes, au sein desquelles ils peuvent exterminer la population du Rohan qui y est réfugiée (l’échappatoire parmi les montagnes est évoqué trop tard, les orques sont plus puissants et rapides que des civils affamés).

- 2 :  La charge du Roi est certes belle pour le geste, mais on l’a constaté plus haut, les troupes orques sont équipées de piques… Justement prévues pour contrer les cavaliers ! Même en admettant qu’ils n’aient pas le temps de les mettre en œuvre avant que le Roi ne rejoigne la rampe de la citadelle, il y constitue avec son groupe une proie de choix pour les milliers de combattants restants dont plusieurs centaines sont équipées d’arcs.

- 3 : L’arrivée salvatrice des réservistes déboule comme une avalanche au milieu des troupes restantes, qui prennent leurs jambes à leur cou pour fuir le champ de bataille après une courte résistance. Déjà, on l’a dit plus haut, ils sont équipés de piques : c’est particulièrement performant contre les chevaux (Braveheart le démontre si besoin est). Ensuite, étant donné le potentiel des forces à disposition, ainsi qu’une donnée très simple : les orques disposent de la citadelle, rien ne justifie une retraite. Au contraire, le mouvement gagnant aurait été de prendre refuge dans cette citadelle : rappelons que même la porte ouverte, les assaillants ne peuvent venir à plus de 2 ou 3 chevaux de front. Et qu’en tout, ils ne sont pas plus nombreux que les orques, qui peuvent profiter des heures de combat à venir pour mener leur objectif à bien : génocider les Rohannais comme prévu.

(à suivre, si ça vous intéresse)

dimanche 20 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 4


Ce texte a été modifié après plus d'une dizaine de jours de publication sur le blog. Il fait partie du troisième chapitre du roman "Un dernier Vol" qui sera proposé à différentes maisons d'édition dès qu'il sera terminé. Il ne sera malheureusement plus disponible au public d'ici là. Pour retrouver toute l'actualité de ce récit, je vous propose de cliquer sur l'onglet correspondant
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vendredi 18 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 3


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lundi 14 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 2




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samedi 12 janvier 2013

Un dernier Vol - Lukas, Part 1




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mercredi 9 janvier 2013

Le changement c'est maintenant!


Bonjour à tous. Comme vous avez pu le remarquer, le site a beaucoup changé depuis ce dimanche. Je vous invite à découvrir les différents onglets du blog : ils ont tous changé cette semaine ! En effet, suite à la productivité que je me suis découvert en matière d’écriture, il fallait faire quelques choix. Plus encore, il fallait les faire au bon moment. Expliquons-nous.

Si vous êtes passés sur le blog dans les derniers mois, vous n’aurez pas pu éviter les textes majeurs qui y sont présentés, c’est-à-dire en premier lieu les deux chapitres du Dernier Vol (devenu « Un dernier Vol ») sur Shannon et Alexander, mais aussi les défis… Dont celui de Noël, qui s’est transformé rapidement en une nouvelle d’une dizaine de pages et terminée en cinq jours. Cela représente une masse considérable d’écrits en tous genres. Comme je l’explique dans le nouvel onglet  « Intéressés par mes écrits », écrire est passé du loisir à la passion dévorante.

Au départ, j’écrivais pour moi. Mais invariablement, je suis fainéant, même si j’adore ça. Pour avancer, j’ai besoin de remarques, de motivations, de critiques. C’est pour cela que j’ai relancé le blog, que j’écris pour les autres. Et le résultat ne s’est pas fait attendre ! Malgré un petit noyau de lecteurs (pas facile de s’accrocher quand un roman se construit au fil des semaines), c’est Clémence, les petits commentaires et le blog qui contribuent à ma productivité. Et invariablement, lorsqu’on écrit beaucoup, on se prend à rêver. Et s’il y avait plus ? Et si, derrière le voile opaque de la fin de roman pouvait se cacher une publication ? Plus qu’un simple espoir : un rêve de gosse. Alors on se documente, on apprend ses droits, les méthodes des maisons d’édition. On y découvre entre autres que si un texte est déjà publié et libre d’accès, les éditeurs rechignent à investir. Et on les comprend (pourquoi payer pour quelque chose de gratuit ?).

J’espère que vous comprendrez qu’aujourd’hui, je dois faire comme s’il y avait la moindre parcelle de chance qu’un écrit présent sur ce blog soit publié. Parce que s’il y en a une et que je passe à côté, je m’en voudrais. Longtemps. Et j’aurais sacrifié un rêve à la joie de pouvoir publier deux ou trois fois par semaine, au fait de ne pouvoir attendre plus d’un jour ou deux lorsque je produis quelques pages.
J’espère que vous comprendrez aussi à quel point j’aime publier sur ce blog. Comme j’aime attendre l’invariable commentaire de Béné, ou taquiner ma femme jusqu’à ce qu’elle cède et lise, même si elle faisait autre chose. J’aime cette sensation de vous donner ce que je fais de mieux. De vous le donner, oui, pas de le faire payer. Donc je suis tiraillé, et j’ai cherché quelques semaines la bonne solution. Je pense être arrivé à un compromis qui ne paraîtra pas acceptable pour tout le monde, qui ne sera pas parfait. Je suis d’ailleurs encore ouvert au débat, même si ma décision est arrêtée (la phrase politique par excellence).

Vous le remarquerez vite, tous les textes inclus dans les récits potentiellement « publiables » ou un jour publiables, ont disparu du site. Et a compter d’aujourd’hui, ces articles seront disponibles à la lecture jusqu’à dix jours après leur date de parution sur le blog. Dix jours, j’estime que c’est suffisant pour les hebdomadaires, pour ceux qui n’ont pas le temps voire pour ceux qui étaient en vacances. Dix jours, c’est un bon délai pour ceux qui souhaitent suivre les textes importants. Les accros ne devraient donc pas en souffrir. A l’inverse, ceux qui attendent pour rattraper « tout d’un coup » seront déçus par cette décision.

Je m’en sens redevable. Alors je tiens à énoncer clairement les choses. Premièrement, pour ceux qui suivront les textes « importants », il y aura (sauf cas de force majeure ou à cause d’autres textes) toujours un article en moins de dix jours, afin que jamais en tête du site ne trône un post fermé. Et pour les autres, sachez que si j’enlève les textes, c’est justement pour souhaiter qu’ils vivent. Qu’ils finissent sur le papier, dans vos e-books, accrochés aux toilettes ou en vitrine à l’Académie. Je donnerais un délai, une fois terminés, pour que ces textes soient publiés. S’ils ne le sont pas, je puis d’ores et déjà vous promettre de persévérer jusqu’à l’auto-publication. Vous parler de livres numériques. La nouvelle « Un Noël aux mille éclats » peut d’ailleurs vous être transmise sur simple demande en format .pdf (il faut juste encore que je teste la version sur mon Kindle !).

Je veux vous dire qu’aujourd’hui, je me sens capable d’aller jusqu’au bout. Grâce à vous. Avec vous. Pas pour tous les textes bien entendu, il y aura toujours des essais, toujours des défis inachevés. Mais rien ne satisfait autant que d’écrire le mot « fin » dans un grand texte. C’est long, c’est fatiguant et il est facile de mal faire les choses… Mais peut-être qu’un jour…

Oui, peut-être qu’un jour…

vendredi 4 janvier 2013

LDV: Alexander - Part 15 final




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mercredi 2 janvier 2013

LDV: Alexander - Part 14



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