Bonjour à tous. Comme vous
avez pu le remarquer, le site a beaucoup changé depuis ce dimanche. Je vous
invite à découvrir les différents onglets du blog : ils ont tous changé
cette semaine ! En effet, suite à la productivité que je me suis découvert
en matière d’écriture, il fallait faire quelques choix. Plus encore, il fallait
les faire au bon moment. Expliquons-nous.
Si vous êtes passés sur le
blog dans les derniers mois, vous n’aurez pas pu éviter les textes majeurs qui
y sont présentés, c’est-à-dire en premier lieu les deux chapitres du Dernier
Vol (devenu « Un dernier Vol ») sur Shannon et Alexander, mais aussi
les défis… Dont celui de Noël, qui s’est transformé rapidement en une nouvelle
d’une dizaine de pages et terminée en cinq jours. Cela représente une masse
considérable d’écrits en tous genres. Comme je l’explique dans le nouvel onglet « Intéressés par mes écrits »,
écrire est passé du loisir à la passion dévorante.
Au départ, j’écrivais pour
moi. Mais invariablement, je suis fainéant, même si j’adore ça. Pour avancer,
j’ai besoin de remarques, de motivations, de critiques. C’est pour cela que j’ai
relancé le blog, que j’écris pour les autres. Et le résultat ne s’est pas fait
attendre ! Malgré un petit noyau de lecteurs (pas facile de s’accrocher
quand un roman se construit au fil des semaines), c’est Clémence, les petits
commentaires et le blog qui contribuent à ma productivité. Et invariablement,
lorsqu’on écrit beaucoup, on se prend à rêver. Et s’il y avait plus ? Et
si, derrière le voile opaque de la fin de roman pouvait se cacher une
publication ? Plus qu’un simple espoir : un rêve de gosse. Alors on
se documente, on apprend ses droits, les méthodes des maisons d’édition. On y
découvre entre autres que si un texte est déjà publié et libre d’accès, les
éditeurs rechignent à investir. Et on les comprend (pourquoi payer pour quelque
chose de gratuit ?).
J’espère que vous comprendrez
qu’aujourd’hui, je dois faire comme s’il y avait la moindre parcelle de chance
qu’un écrit présent sur ce blog soit publié. Parce que s’il y en a une et que
je passe à côté, je m’en voudrais. Longtemps. Et j’aurais sacrifié un rêve à la
joie de pouvoir publier deux ou trois fois par semaine, au fait de ne pouvoir
attendre plus d’un jour ou deux lorsque je produis quelques pages.
J’espère que vous comprendrez
aussi à quel point j’aime publier sur ce blog. Comme j’aime attendre l’invariable
commentaire de Béné, ou taquiner ma femme jusqu’à ce qu’elle cède et lise, même
si elle faisait autre chose. J’aime cette sensation de vous donner ce que je
fais de mieux. De vous le donner, oui, pas de le faire payer. Donc je suis
tiraillé, et j’ai cherché quelques semaines la bonne solution. Je pense être
arrivé à un compromis qui ne paraîtra pas acceptable pour tout le monde, qui ne
sera pas parfait. Je suis d’ailleurs encore ouvert au débat, même si ma
décision est arrêtée (la phrase politique par excellence).
Vous le remarquerez vite, tous
les textes inclus dans les récits potentiellement « publiables » ou
un jour publiables, ont disparu du site. Et a compter d’aujourd’hui, ces
articles seront disponibles à la lecture jusqu’à dix jours après leur date de
parution sur le blog. Dix jours, j’estime que c’est suffisant pour les
hebdomadaires, pour ceux qui n’ont pas le temps voire pour ceux qui étaient en
vacances. Dix jours, c’est un bon délai pour ceux qui souhaitent suivre les
textes importants. Les accros ne devraient donc pas en souffrir. A l’inverse,
ceux qui attendent pour rattraper « tout d’un coup » seront déçus par
cette décision.
Je m’en sens redevable. Alors
je tiens à énoncer clairement les choses. Premièrement, pour ceux qui suivront
les textes « importants », il y aura (sauf cas de force majeure ou à
cause d’autres textes) toujours un article en moins de dix jours, afin que
jamais en tête du site ne trône un post fermé. Et pour les autres, sachez que
si j’enlève les textes, c’est justement pour souhaiter qu’ils vivent. Qu’ils
finissent sur le papier, dans vos e-books, accrochés aux toilettes ou en
vitrine à l’Académie. Je donnerais un délai, une fois terminés, pour que ces
textes soient publiés. S’ils ne le sont pas, je puis d’ores et déjà vous
promettre de persévérer jusqu’à l’auto-publication. Vous parler de livres
numériques. La nouvelle « Un Noël aux mille éclats » peut d’ailleurs
vous être transmise sur simple demande en format .pdf (il faut juste encore que
je teste la version sur mon Kindle !).
Je veux vous dire
qu’aujourd’hui, je me sens capable d’aller jusqu’au bout. Grâce à vous. Avec
vous. Pas pour tous les textes bien entendu, il y aura toujours des essais,
toujours des défis inachevés. Mais rien ne satisfait autant que d’écrire le mot
« fin » dans un grand texte. C’est long, c’est fatiguant et il est
facile de mal faire les choses… Mais peut-être qu’un jour…
Oui, peut-être qu’un jour…
Y'a juste un soucis technique dans cette histoire mon petit Eric (a moins que j'ai raté la suppression d'une option).
RépondreSupprimerEn fait, je suis abonné à ton blog, et je recoit donc tes textes dans ma boite mail dès qu'ils sont publiés. Du coup, ta limite de 10 jours est inexistante pour tout abonné puisque tes textes restent intégralement lisibles dans les mails.
Ton modèle économique ne tient donc pas totalement la route.
Si effectivement tu as enlevé la possibilité de s'abonner à tes publications, ou que seules quelques lignes d'accroche seront présentes dans les mails à venir, ne tiens pas compte de ma remarque.
Tu as tout mon soutien et mes plus sincères souhaits de réussite. Cependant, elle s'accompagnera nécessairement d'une tare: pour chaque publication que j'achèterai, je te harcellerai pour une dédicace ;)
Et pour ta première publication à venir, je te propose par avance une séance photo en studio (que, j'ose espérer, tu ne refuseras pas !).
Fin de mon pavé commentairesque.
P:S : Termine "Find It" STP !
correction: "je reçois"
RépondreSupprimer(Je sais pas ce qui m'a pris... mes yeux en saignent !)
Effectivement, il s'agit bien d'un oubli de ma part qui fait un peu "faille" dans ce nouveau système. J'ai trouvé une option de paramétrisation suite à la lecture de ton commentaire, mais je ne sais pas si elle ne marche que pour les flux rss ou si elle est valide pour les envois de la newsletter. Nous verrons bien d'ici la fin de semaine: si tout va bien, seuls 400 caractères devraient apparaître.
RépondreSupprimerMerci pour ta remarque, je n'y avais pas du tout pensé.
Et pour l'instant, c'est bien "Un dernier vol" et non Find It qui est sur le feu :)
En théorie, ca devrait effectivement fonctionner: seul le format est différent entre un fluxRSS et une newsletter, la donnée est identique.
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