mercredi 9 janvier 2013

Le changement c'est maintenant!


Bonjour à tous. Comme vous avez pu le remarquer, le site a beaucoup changé depuis ce dimanche. Je vous invite à découvrir les différents onglets du blog : ils ont tous changé cette semaine ! En effet, suite à la productivité que je me suis découvert en matière d’écriture, il fallait faire quelques choix. Plus encore, il fallait les faire au bon moment. Expliquons-nous.

Si vous êtes passés sur le blog dans les derniers mois, vous n’aurez pas pu éviter les textes majeurs qui y sont présentés, c’est-à-dire en premier lieu les deux chapitres du Dernier Vol (devenu « Un dernier Vol ») sur Shannon et Alexander, mais aussi les défis… Dont celui de Noël, qui s’est transformé rapidement en une nouvelle d’une dizaine de pages et terminée en cinq jours. Cela représente une masse considérable d’écrits en tous genres. Comme je l’explique dans le nouvel onglet  « Intéressés par mes écrits », écrire est passé du loisir à la passion dévorante.

Au départ, j’écrivais pour moi. Mais invariablement, je suis fainéant, même si j’adore ça. Pour avancer, j’ai besoin de remarques, de motivations, de critiques. C’est pour cela que j’ai relancé le blog, que j’écris pour les autres. Et le résultat ne s’est pas fait attendre ! Malgré un petit noyau de lecteurs (pas facile de s’accrocher quand un roman se construit au fil des semaines), c’est Clémence, les petits commentaires et le blog qui contribuent à ma productivité. Et invariablement, lorsqu’on écrit beaucoup, on se prend à rêver. Et s’il y avait plus ? Et si, derrière le voile opaque de la fin de roman pouvait se cacher une publication ? Plus qu’un simple espoir : un rêve de gosse. Alors on se documente, on apprend ses droits, les méthodes des maisons d’édition. On y découvre entre autres que si un texte est déjà publié et libre d’accès, les éditeurs rechignent à investir. Et on les comprend (pourquoi payer pour quelque chose de gratuit ?).

J’espère que vous comprendrez qu’aujourd’hui, je dois faire comme s’il y avait la moindre parcelle de chance qu’un écrit présent sur ce blog soit publié. Parce que s’il y en a une et que je passe à côté, je m’en voudrais. Longtemps. Et j’aurais sacrifié un rêve à la joie de pouvoir publier deux ou trois fois par semaine, au fait de ne pouvoir attendre plus d’un jour ou deux lorsque je produis quelques pages.
J’espère que vous comprendrez aussi à quel point j’aime publier sur ce blog. Comme j’aime attendre l’invariable commentaire de Béné, ou taquiner ma femme jusqu’à ce qu’elle cède et lise, même si elle faisait autre chose. J’aime cette sensation de vous donner ce que je fais de mieux. De vous le donner, oui, pas de le faire payer. Donc je suis tiraillé, et j’ai cherché quelques semaines la bonne solution. Je pense être arrivé à un compromis qui ne paraîtra pas acceptable pour tout le monde, qui ne sera pas parfait. Je suis d’ailleurs encore ouvert au débat, même si ma décision est arrêtée (la phrase politique par excellence).

Vous le remarquerez vite, tous les textes inclus dans les récits potentiellement « publiables » ou un jour publiables, ont disparu du site. Et a compter d’aujourd’hui, ces articles seront disponibles à la lecture jusqu’à dix jours après leur date de parution sur le blog. Dix jours, j’estime que c’est suffisant pour les hebdomadaires, pour ceux qui n’ont pas le temps voire pour ceux qui étaient en vacances. Dix jours, c’est un bon délai pour ceux qui souhaitent suivre les textes importants. Les accros ne devraient donc pas en souffrir. A l’inverse, ceux qui attendent pour rattraper « tout d’un coup » seront déçus par cette décision.

Je m’en sens redevable. Alors je tiens à énoncer clairement les choses. Premièrement, pour ceux qui suivront les textes « importants », il y aura (sauf cas de force majeure ou à cause d’autres textes) toujours un article en moins de dix jours, afin que jamais en tête du site ne trône un post fermé. Et pour les autres, sachez que si j’enlève les textes, c’est justement pour souhaiter qu’ils vivent. Qu’ils finissent sur le papier, dans vos e-books, accrochés aux toilettes ou en vitrine à l’Académie. Je donnerais un délai, une fois terminés, pour que ces textes soient publiés. S’ils ne le sont pas, je puis d’ores et déjà vous promettre de persévérer jusqu’à l’auto-publication. Vous parler de livres numériques. La nouvelle « Un Noël aux mille éclats » peut d’ailleurs vous être transmise sur simple demande en format .pdf (il faut juste encore que je teste la version sur mon Kindle !).

Je veux vous dire qu’aujourd’hui, je me sens capable d’aller jusqu’au bout. Grâce à vous. Avec vous. Pas pour tous les textes bien entendu, il y aura toujours des essais, toujours des défis inachevés. Mais rien ne satisfait autant que d’écrire le mot « fin » dans un grand texte. C’est long, c’est fatiguant et il est facile de mal faire les choses… Mais peut-être qu’un jour…

Oui, peut-être qu’un jour…

4 commentaires:

  1. Y'a juste un soucis technique dans cette histoire mon petit Eric (a moins que j'ai raté la suppression d'une option).

    En fait, je suis abonné à ton blog, et je recoit donc tes textes dans ma boite mail dès qu'ils sont publiés. Du coup, ta limite de 10 jours est inexistante pour tout abonné puisque tes textes restent intégralement lisibles dans les mails.
    Ton modèle économique ne tient donc pas totalement la route.

    Si effectivement tu as enlevé la possibilité de s'abonner à tes publications, ou que seules quelques lignes d'accroche seront présentes dans les mails à venir, ne tiens pas compte de ma remarque.

    Tu as tout mon soutien et mes plus sincères souhaits de réussite. Cependant, elle s'accompagnera nécessairement d'une tare: pour chaque publication que j'achèterai, je te harcellerai pour une dédicace ;)
    Et pour ta première publication à venir, je te propose par avance une séance photo en studio (que, j'ose espérer, tu ne refuseras pas !).

    Fin de mon pavé commentairesque.

    P:S : Termine "Find It" STP !

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  2. correction: "je reçois"

    (Je sais pas ce qui m'a pris... mes yeux en saignent !)

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  3. Effectivement, il s'agit bien d'un oubli de ma part qui fait un peu "faille" dans ce nouveau système. J'ai trouvé une option de paramétrisation suite à la lecture de ton commentaire, mais je ne sais pas si elle ne marche que pour les flux rss ou si elle est valide pour les envois de la newsletter. Nous verrons bien d'ici la fin de semaine: si tout va bien, seuls 400 caractères devraient apparaître.

    Merci pour ta remarque, je n'y avais pas du tout pensé.

    Et pour l'instant, c'est bien "Un dernier vol" et non Find It qui est sur le feu :)

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  4. En théorie, ca devrait effectivement fonctionner: seul le format est différent entre un fluxRSS et une newsletter, la donnée est identique.

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